Cette pièce à conviction doit commencer à se penser comme un modèle de journalisme à enseigner dans des écoles. Par ce travail, ces militants humains sont entrain de révolutionner l’art du journalisme. Ce documentaire doit avoir une plus large diffusion si, comme T. Meyssan, on partage la conviction morale et politique selon, des personnes ayant des cartes de presse et se présentent comme des journalistes, doivent rendre des comptes quant à leur travail.
Des "seigneurs de guerre" rendent déjà compte de leurs activités meurtrières. Pourquoi pas ces "seigneurs de guerre" badgés.
Le problème n’est pas comme l’explique très Meyssan, que ces charognards font des erreurs. Quand on fait des erreurs, on fait amende honorable : dans le cas d’espèce, on sent que ce n’est pas journaliste qui est leur préoccupation première (l’art exige que l’on présente les faits dans toutes leurs largeurs possible), mais la fabrication des mensonges pour permettre la réalisation de l’agenda politique de ceux qui les paient ; où tout simplement l’agenda politique qui cadre avec leurs convictions philosophiques et morales quintexistentielle : la haine de l’autre défiguré par la couleur de la peau, des croyances religieuses, les pratiques sexuelles et la théorie de la hiérarchie des "races" théorisée par Gobineau, Hegel et autre.
C’est cela la serve nourricière de l’impérialiste. L’impérialisme, pour paraphraser Satre, est un racisme, un antihumanisme. C’est la raison pour laquelle, la Mère parle de chauvinisme quand elle se rend compte que les médias meanstream n’ont que cure que des faits qu’elle expose et qu’ils sont mus par l’occidentalisation du monde.
C’est en ces moment que je conseille au gens de relire le livre d’hannah Arent : Le totalitarisme.
Chapeau bas pour le travail les artistes. Merci, pour cette garantie que vous donner à ceux qui commençaient, qui doutaient de ce que, dans ce métier, il existe des gens honnetes comme partout.