Quand Goldman Sachs spécule sur le trafic sexuel
8 avril 2012 21:45, par nanothermiteNotes sur l’ouvrage d’Israel Shahak, Jewish History, Jewish Religion :
Mariage et relations sexuelles
Puisque « la chair des goyim est semblable à celle des ânes et que leur rut est comme celui des étalons », (Ezéchiel 23 20) les relations sexuelles d’un j**f marié avec une go-ya ne sont pas de l’adultère mais de la bestialité. Selon Maïmo-nide, toute femme non-j**ve est considérée comme non purifiée de ses mens-trues, esclave, païenne et prostituée (nid dah, shif tah, go yah, zon ah). Par conversion elle perd les trois premières marques mais reste toujours zo-nah (prosti-tuée) pour le restant de ses jours. Pour une femme, la conversion au judaïsme est assortie de conditions humiliantes : inspection corporelle par trois rab bins après avoir été dénudée lors d’un bain de purification. On imagine les hurlements médiatiques si l’église catho lique se permettait le moindre projet en ce sens.
Selon l’Encyclopédie talmu dique, le j**f qui a des rapports charnels avec la femme d’un Gen til ne mérite pas la peine de mort. Selon ce qui est écrit : « La femme de ton prochain et non la femme de l’étranger » et le précepte selon lequel « un homme restera fidèle à sa femme » qui est adressé aux Gen tils ne s’applique pas au j**f parce qu’aux yeux de la Loi il n’y a pas de mariage valide entre les Gen tils. Cette interdiction ne s’adresse donc pas au j**f. Cela ne veut pas dire que les rapports sexuels entre un j**f et une go-ya sont permis, bien au contraire. Mais la punition principale est infligée à la goya et doit être exécutée même si celle-ci a été violée par le j**f. Lorsqu’un j**f a un coït avec une go-ya, cette dernière, qu’elle soit une enfant ou une adulte, qu’elle soit mariée ou non, et même si elle est une mineure âgée seulement de neuf ans et un jour, par le fait même qu’elle a eu un coït « volontaire » doit être tuée, comme c’est le cas pour une bête, simplement parce qu’elle a occasionné des ennuis au j**f. Cependant celui-ci doit être fouetté et, s’il est un Ko-hen (membre de la tribu des prêtres), il doit recevoir deux fois plus de coups de fouet parce qu’un Ko-hen ne peut avoir de rapports sexuels avec une prostituée et toute femme non-j**ve est présumée être une prostituée.