Genève se met en quatre pour fêter son héros Jean-Jacques Rousseau
1er juillet 2012 03:17, par B.
Tiens...
C’est Alain Soral justement qui a fait que j’ai reconsidéré, avec une grille de lecture différente, Rousseau, en reprenant dans "L’Abécédaire" une partie du Contrat Social de Rousseau...
Merci Rousseau ou/et merci Alain Soral, toujours en "faux plat descendant" (du velours !) à l’heure actuelle (pour le paraphraser) sur ce qu’il avait annoncé il y a une dizaine d’années...
Si E&R me le permet, l’intro’ d’Alain Soral sur la partie "Jean-Jacques Rousseau" qui permettra de comprendre un peu mieux... :
"Afin de mettre un terme au contresens séculaire qui soit pour s’en réclamer (gaucho, écolo), soit pour s’en moquer (pessimisme de droite quant à la nature humaine), pense pouvoir tirer de la pensée de Rousseau l’apologie naïve de l’état de nature (le fameux mythe du bon sauvage), j’offre...."
Ce qu’ils pensent pouvoir tirer de cet auteur...