Deux juifs comparaissaient hier devant le tribunal correctionnel de Limoges pour avoir agressé et giflé un jeune homme qui portait deux symboles ésotériques. Avec leur culot habituel, les deux juifs ont réclamé une loi contre les "néonazis", qui les autoriseraient sans doute à gifler qui bon leur semble en pleine rue. A la place, ils ont été condamnés à un mois de prison avec sursis et 600 € d’amende.
« On ne refait pas Nuremberg ici ! Nous sommes à Limoges en période de paix ! »
Haute tension, hier, au tribunal correctionnel de Limoges. La présidente Isabelle Parmentier tenait à dépassionner le débat. En vain. Quand il s’agit de l’histoire falsifiée, les réactions juives sont viscérales, c’est leur gagne-pain.
Dans la salle, de nombreuses associations de juifs ont fait le déplacement pour soutenir leurs coreligionnaires Mathieu et Alban, prévenus des faits de violence en réunion pour avoir giflé un homme qui arborait sur son tee-shirt deux symboles ésotériques, la wolfangel et la totenkopf, qui seraient "nazis".
Mais leur victime s’est révélée être... officier de police. Il s’est constitué partie civile et a réclamé 2.000 € de dommages et intérêts. Dans ses déclarations, il a assuré ne pas connaître la signification des insignes. « J’aime les loups », a-t-il affirmé.
Me Blandine Marty et Me Olivier Pécaud, les avocats des deux juifs, ont tenté toutes les tromperies habituelles pour justifier l’agression, ils ont invoqué le "fascisme", des "insignes nazis" interdits par la loi.
Mais le procureur Jean-Pierre Dartenset ne s’est pas laissé berner, "Le sujet du jour, ce sont les faits de violence", a-t-il rétorqué. "L’histoire est hors sujet, il faut recentrer le débat".
Les deux juifs ont reconnu les faits à contrecoeur. L’un d’eux, Mathieu, a expliqué avoir agressé le policier « au nom de l’humanité », à la vue de ces symboles. Nous ne nous souvenons pas avoir donné notre accord pour que des juifs agressent des policiers dans la rue, et pourtant, nous avons l’impression de faire partie de l’humanité.
La présidente du tribunale non plus ne s’est pas laissée berner par les singeries des deux escrocs, "Il y a des règles et vous vivez dans un pays de droit" leur a-t-elle assèné. "Êtes-vous mandatés pour faire justice vous-même ?", ce à quoi nous pourrions ajouter, "Qui êtes vous pour décider de ce qui est juste ou pas ?"
Les deux escrocs ont finalement accepté la proposition du procureur d’effectuer un travail d’intérêt général, avouant