Un orgasme = 2 cheeseburgers
28 juillet 2012 21:20, par Acétylcholine
Il faut savoir que le cerveau humain libère en permanence des molécules du plaisir dans le sang, mais en quantité tout juste suffisante pour que nous ne soyons ni euphoriques, ni dépressifs. Juste bien.
Or, en absorbant des produits qui forcent nos cerveaux à vider d’un coup leur stock de dopamine (et d’endorphine, etc.), cette quantité minimale n’est plus assurée, et la sensation de manque vient très rapidement. L’envie de reprendre de la drogue afin d’éliminer cette sensation désagréable arrive, et le cercle vicieux s’enclenche (un déséquilibre biochimique s’installe durablement dans le cerveau).