Les agressions israéliennes contre la mosquée Al-Aqsa ne se sont pas arrêtées
1er août 2012 15:12, par Van@ Organe.
Oui tu as raison.
Pour les juifs, l’emplacement de la mosquée Al Aqsa est essentielle car en-dessous se trouverai l’arche d’alliance, les tables de la Loi donné par Dieu à Moïse.
C’est à cet endroit que se trouvait le Temple de Jérusalem, centre de la vie religieuse juive.
La destruction du temple de Jérusalem fut prophétisé par Jésus-Christ (« Il n’en restera pas pierre sur pierre. » (Mc 13, 2)) qui a annoncé sa substitution par un temple spirituel, l’Église. (« Détruisez ce Temple, et je le rebâtirai en trois jours. (...) Mais il parlait du Temple de son corps. » (Jean 2, 21)).
L’Église est le corps mystique du Christ.
Ce qui est largement méconnu car les juifs le cachent soigneusement, c’est que depuis la destruction du temple de Jérusalem en 70, la religion juive en tant que tel n’existe plus.
Les cultes prescrits par Dieu dans l’Ancien Testament n’ont plus lieu car le sacerdoce est rompu, le saint des saints au centre du temple n’est plus...
Les rabbins ne sont pas l’équivalent des prêtres descendant d’Aaron, mais juste des érudits, mais en soi tout juif peut se prétendre rabbin.
Le culte juif n’est plus, ce sont des réunions de prières.
Cette question est très douloureuse pour les juifs, car dans l’Ancien Testament on remarque que chaque insoumission du peuple élu entraîne inévitablement pour lui un grand châtiment de Dieu.
Ils ont condamné à mort le Christ, et moins de 40 ans après ils voient leur centre religieux détruit, leur transmission sacerdotale stoppée, et leur peuple disséminé sur la surface de la terre.
N’est-ce pas tout de même un signe évident que ceci est la conséquence de cela ?
(pour un catholique, tout ce qui fut détruit de l’ancienne loi se retrouve dans la nouvelle alliance de façon spirituel. Le temple de Jérusalem, c’est l’Eglise. Le saint des saints, c’est le Christ. La terre promise, c’est le Ciel. Et le sacrifice offert à Dieu, c’est bien sûr le sacrifice de la croix, où Jésus-Christ, la victime sans tâche, s’offre à son Père. Ce sacrifice parfait se renouvelle à chaque fois lors de la Sainte Messe)