"Madonna ? Une ancienne pute" selon le vice-premier ministre russe
11 août 2012 10:32, par UrbonMadonna fait comme tous les artistes actuels, ou presque, depuis les années rock. C’est de la musique de rebelle. Mais rebelle commercial, nécessité oblige...
Les bon sentiments commerciaux, on les connait : On est libres et égaux.
Être libre, dans le modèle commercial, ça veut dire être dégagé de ses obligations sociales, comme du service militaire par exemple. Faire des enfants étant l’obligation sociale la plus contraignante, Madonna est pour la famille moderne, l’homosexualité et les bébés éprouvettes.
Être égal, toujours d’un point de vue commercial, ça veut dire être un modèle d’humanité auquel les autres doivent se conformer. Madona est donc contre le racisme, parce que l’idée de race empêche les gens de se conformer au même modèle occidental.
Et tout le monde écoute Madonna. Si ça se trouve, c’est elle qui produit les pétasses d’aujourd’hui, en leur vendant l’image d’une femme ayant brisé les tabous. Même soupe musicale pour tout le monde, même lavage de cerveau idéologique. Quand Madona parle, ce n’est plus juste une artiste qui s’exprime. Non, c’est l’industrie du divertissement pour djeunes qui envoie son ambassadrice de choc.
Le message est politique, bien sûr : "N’ayez pas peur, petits Français, Walt Disney va vous délivrer des méchants fachos !"
Bah oui, on aura beau critiquer l’artiste, l’heure n’est plus au leçon de piano. La vague néo-humaniste déferle sur l’occident et n’en finit pas de tout ravager sur son passage. Certes, le résistance a aussi ses icônes, mais la lutte n’est pas à armes égales. Je ne parle pas du talent musical, je pale du showbizz et de la mise en scène.
Le message de Madonna a déjà été martelé, comme une promesse évangélique qu’il faut répéter sans cesse, pour que personne ne cesse d’y croire. Les groupies ont besoin de leur dose, leur vie tient à ce fil. Ils sont tous intoxiqués au plus au point, ils ont vendu père et mères pour se payer le rêve d’une vie de plaisir, de péchés pardonnés.
Qui se soucie de ces âmes tourmentées vivotant en couple gay ou lesbien et s’échangeant leurs enfants ? Qui prie le Seigneur pour que Hollande légalise l’adoption homoparentale ? Madona est une mère, elle est venue témoigner son amour.
Triste réalité quand on pense qu’il y a encore en France des artistes comme Jean Louis Murat, réfractaires à toute compromission commerciale, qui défendent nos valeurs. Ça c’est de la musique populaire :