Ce qui est assez drôle c’est qu’il semble qu’il soit plus crédible de dire que des gars en claquette courent après des chars que d’affirmer que des forces étrangères arment les résistants.
Il y a même un passage (relevé par De Villiers) où le témoignage de Florence Aubenas consiste à décrire des résistants sans armes, même si ça tient plus du lapsus qu’autre chose, je pense.
Sans armes, en claquettes, à courir après des chars, ça c’est du crédible de chez crédible où je ne m’y connais pas !