Une fois que nous aurons tous (enfin pas nous "les saints d’esprits", je parle des moutons-zombies) des éléments électroniques dans le corps, on peut imaginer qu’on aura des interfaces hommes-machines qui permettront l’utilisation de virus, de chevaux de troie et de prise de contrôle à distance pour que nos maîtres puissent nous "débrancher" si nous remuons trop la merde.
Pourquoi ne pas déconnecter à distance et de manière électronique (par internet, c’est plus pratique) les bras d’un écrivain dont les pamphlets sont trop dangereux, rendre aphone un homme politique honnête et courageux, faire tomber un résistant en dépression ou dans le coma, arrêter le coeur d’un artiste un peu trop subversif, rendre aveugle un sportif qui aurait fait de l’ombre au champion dont on avait prévu qu’il gagnerait, donner le cancer à un concurrent un peu trop performant, etc.
Évidemment, on nous fera passer ça comme des avancées révolutionnaires, des choses tellement géniales et pratiques qu’on ne peut pas décemment s’en passer, des trucs cools que-si-tu-les-as-pas-t’es-qu’un-ringard, etc.