Les enseignants prennent des assurances pour payer leurs passages à tabac !
18 septembre 2012 22:01, par QuoVadis
Je voudrais raconter une anecdote dont j’ai été témoin à l’âge de 10 ans en 1966 à l’école primaire publique. Lors d’une récréation, un élève turbulent, un agité du bocal comme il y en aura toujours, cherchait la bagarre à d’autres élèves. Le maître qui surveillait, le pris par le bras pour le neutraliser et l’élève irascible lui porta un coup au visage faisant valdinguer la clope de l’enseignant, la réaction fut immédiate, celui-ci l’a séché d’un coup de poing. Autant vous dire, que la suite des cours fut studieuse et que personne ne moufta. Le dirlo, averti, garda l’élève dans son bureau jusqu’à la fin des cours et convoqua le père, simple ouvrier, durant ses heures de boulot, qui lorsqu’il vint s’enquérir des événements, fila une rouste mémorable à son rejeton devant les autres. On ne plaisantais pas avec l’autorité à cette époque. Je ne cautionne pas forcément cela mais "Autres temps, autres moeurs". Ne serait-ce pas là aussi un exemple d’inversion des valeurs ?