Nombre de jeunes Français diplômés partent déjà, pas de boulot et pas d’avenir pour eux en France. Par ailleurs, l’éducation nationale insiste beaucoup sur la méritocratie des jeunes immigrés ou issus de l’immigration (échec patent avec l’immigration masculine du Maghreb et d’afrique noire) rendant la vie des petits blancs impossible entre la violence verbale et physique de ces jeunes et la violence morale des enseignants et du système.
La concurrence de tous avec tous commence à l’école, et les victimes muettes sont les petits Français de souche des classes les plus pauvres.
Mais ce système de privilégie tacite, ne fonctionne plus dans les zones à forte composante immigrée où ce sont directement les enseignants qui se prennent les coups que les petits blancs ne peuvent plus recevoir.
Il est notable que le réseau de la communauté qui n’existe pas adoube ses collabeurs comme elle s’est elle même constituée dès l’après guerre et l’exploitation de la shoananas, avec la bénédiction des élites communautaires qui leur devaient bien ce retour d’ascenseur après les avoir abandonner sous le régime nazi. Les sépharades qui n’ont pas connu la shoananas n’ont fait que se glisser et profiter des mêmes réseaux de privilèges après s’être enfuis d’Afrique du nord lors des attaques de l’état juif contre ses voisins musulmans.