Jeux d’influence derrière « l’innocence des musulmans »
28 septembre 2012 17:04, par Thémistoclès
On comprend beaucoup mieux pourquoi les "occidentaux" à l’époque, dont John Major, refusaient de se mouiller pour accueillir et cacher Rushdie. Ils savaient que celui-ci n’avait guère à craindre. J’ai lu en ce temps les versets sataniques : compliqué, très décevant voire incompréhensible. Aussi décevant que "Beyond Belief" de VS Naipaul (Inde), le Nobel programmé (=acheté) fin 2001 par la CIA.