Les mauvais perdants de la crise syrienne
30 octobre 2012 21:59, par vélo
François Hollande semble croire au langage performatif, ou plutôt il veut à tout prix que la réalité coïncide avec ses déclarations péremptoires assurant la chute inéluctable de Bashar Al-Assad... là on ressent sensiblement l’impuissance du citoyen prisonnier d’un régime représentatif...