Une chanson pour Gaza : le CRIF pour la censure ?
5 novembre 2012 10:36, par Thémistoclès
C’est la complainte simple et émouvante de tous ces malheureux, assiégés dans un ghetto et qu’on assassine par routine, par système. Dans l’esprit des bourreaux, les balles sont évidemment perdues car toujours trop chères par rapport au prix dérisoire des vies assassinées.
A Djibril, à Mouloud, et à tous les enfants de leur âge, sur vos petits pieds écorchés, je dépose, en baume, la moitié de mon âme.