Pour le moins, je trouve curieux, pour ne pas dire inquiétant, qu’un candidat comme F. Fillon
donné gagnant dans les sondages jusqu’à la veille de cette "élection" dans les proportions de deux tiers contre un tiers, soit finalement battu par un individu belliqueux et que la majorité des français de toutes idéologies politiques confondues ne voulaient surtout pas voir à la place qu’il occupe ce matin. C’est un bien triste jour pour notre pays, où l’on peut une fois de plus constater qu’une certaine "mafia" s’est installée amenée et confortée certes, par l’ancien chef de l’état français de 2007 à 2012.