Je pense que vous avez omis un élément important concernant cette intervention, la femme en question est HOSPITALISEE, entendez hôpital psychiatrique (d’après ce que j’ai compris). Toujours d’après ce que j’ai compris, il me semble que le "psychiatre" ne dit pas que : souvent les personnes prétendument agressées fabulent, mais plutôt que : souvent les personnes qui se retrouvent dans une situation où ils ont perdu le control, situation difficile, (comme ici avec l’hospitalisation en psychiatrie pour cette femme), ont le besoin d’expliquer comment ils en sont arrivé là et pour cela ils pourraient utiliser/créer (involontairement) des situations où ils ont été abusés pour légitimer leur déchéance.
Cette dernière vision me parait, s’il a vraiment voulu dire ca, tout à fait compréhensible et donc défendable. On l’a surement déjà tous fais de profiter d’un évenement douloureux, mais sans multiples conséquence, pour glisser deux trois erreurs qu’on ferait passer pour conséquence.
J’espère que vous me donnerez vos avis après revisionnage. Mais en tout cas j’aurai trouvé appréciable (si je ne me trompe pas) que sur un site comme E&R on s’y prenne à deux fois avant de faire un constat aussi catégorique. Je pense que notre très chère Alain Soral est bien placé pour connaitre ce genre de constat vite fait sans grande recherche.