L’arnaque du réchauffement climatique
17 décembre 2012 01:17, par ManuDelatourJe propose pêle-mêle quelques réflexions à votre appréciation, issues de multiples lectures :
CO2 ? La logique du GIEC est de lier le CO2 à la température. Basiquement, plus la concentration de CO2 est forte, plus la température augmente. Deux constats me viennent à l’esprit. D’une part, l’Homme n’a jamais produit autant de CO2 que ces dix dernières années. On devrait donc s’attendre à une montée fulgurante de la température depuis ce temps. Mais il n’en est rien. Au contraire, on constate une très légère diminution depuis 2001. D’autre part, ce postulat est déclaré fiable à 90%. Pour rappel, 90% ne signifie rien dans le monde scientifique. A 95%, on pourrait commencer à discuter, mais là... (je vous invite à étudier quelque peu la signifiance d’une corrélation statistique pour vous en rendre compte ; entre 90% et 95%, il y a une sacrée marge !)
Consensus ? Comme le dit à juste titre Vincent Courtillot (dissident scientifique bien que respecté dans ses domaines de recherche), aucune découverte importante n’a débuté par un consensus. Il évoque le phénomène de tectonique des plaques, énoncé en 1912 par Alfred Wegener, mais seulement accepté pendant la seconde moitié du XXe siècle... Le GIEC s’affirme pourtant comme un organisme de consensus autour du sujet du réchauffement, ce qui est contraire à la démarche scientifique. Pas de consensus en sciences ! La remise en question continue est la règle d’or. Mais il faut bien justifier les salaires...
GIEC ? La définition même du GIEC est contradictoire : "[Il] a pour mission d’évaluer, sans parti-pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine [...]". Cela sous-entend que le changement climatique est d’origine humaine, il y a donc bien un parti-pris !
Modélisation ? La puissance des calculateurs n’est aujourd’hui pas suffisante pour prendre en compte les nuages.Ils sont pourtant capitaux pour une étude complète (je vous invite à étudier les conséquences de l’éruption du volcan Laki en 1783 où la température a été fortement impactée)
Il est possible que le réchauffement climatique soit indépendant de l’activité humaine, n’en déplaise aux ethnocentriques. Le cas échéant, appliquer une taxe sur les sources humaines proclamées de ce réchauffement n’a aucun sens... Ca reviendrait à appliquer une taxe humaine à l’Univers.