Du temps pas très lointain des sœurs de la Charité et de la Mère Supérieure, l’on assistait les grands malades, quelque soient leur statut, jusqu’à la fin. L’euthanasie n’effleurait même pas les esprits et, en parler, relever de l’humour macabre qui vous valait les regards de travers des braves gens outrés !
Pour être malheureusement abonné des hôpitaux publiques depuis 2002, je puis affirmer que les conditions générales à la fois morales et matérielles se sont détériorées au point où, c’est bien à l’intérieur de l’hosto qu’il faut mettre des pancartes - Hôpital Silence - tant ça proteste de partout, ça beugle,çà braille, çà déambule comme dans un souk ! Tout le monde s’énerve et semble être dépassé par les évènements.
Quelques CHU s’en sortent encore bien. Mais pour combien de temps encore ? Les mots d’ordre pour le personnel médical sont : rentabilité - s’adapter ou.....la porte ! Quant aux "patients " impatients,c’est comme ça, on n’y peut rien, faut faire avec.....qu’ils disent !