À Paris et Ankara, terrorisme et antiterrorisme ne font qu’un
13 janvier 2013 02:06, par aurelien362
Bahar Kimyöngur est lucide sur la Syrie, mais au sujet du PKK, son hostilité à la Turquie l’aveugle, je le crains. La France n’a pas à soutenir, ni à défendre, des groupes séparatistes sur son sol. Pourquoi protègerait-on le PKK ? Que dirait-on si la Turquie accueillait des indépendantistes corses chez elle ?
Du reste, le racket exercé par le PKK sur les civils kurdes français est inadmissible.
Au sujet du triple crime, honnètement, la Turquie n’avait aucun intérêt à l’organiser : ces trois femmes n’étaient pas dangereuses, et ça a surtout servi à reserrer la solidarité des Kurdes...