C’est étonnant, dans tous ces "non", on a comme l’impression qu’il y a presque un REFUS de combattre l’antisémitisme, comme une complaisance dans le misérabilisme. Si l’antisémitisme disparait, c’est leur fond de commerce qui s’effondre (comme celui d’un labo pharmaceutique si tout le monde était guéri).
Reste à savoir si cela est représentatif des témoignages recueillis ou si le CRIF a délibérément opéré une sélection.
Petite remarque de goût personnel : C’est moi ou ils sont tous laids ?