Liberté d’expression à deux vitesses
16 janvier 2013 21:36, par François
L’un qui dit qu’il a cherché son "sale nègre".
L’autre qui ânonne, en respectant bien la hiérarchie raciste de la "victime"
"Vous ne pouvez pas dire dans la rue : les juifs il faut tous les tuer"
"Les choses les plus viles, les plus criminelles contre les juifs, les noirs, les homosexuels..." etc...
Quelle bande d’hypocrites.