Royaume-Uni : vers la "coparentalité"
4 février 2013 19:08, par unique34La société n’a pas vocation a faire d’un "droit à l’enfant" une culture,
mais bien de consacrer la possibilité de l’engendrement naturel donné à notre espèce.
D’aucuns voudraient se détacher totalement de ce donné, au point d’exiger la fabrication,
au moyen d’un tiers, d’un embryon humain, pour simple convenance personnelle.
Dans la vie nous avons à assumer ce que nous sommes, les possibilités et limitations qui en découlent, et éventuellement à travailler à changer notre condition, tant que faire se peut, si elle ne nous convient pas.
Cela veut dire que, Messieurs Dames les Zomos, il va falloir prendre sur vous peut-etre, mais la possibilité naturelle pour vous d’avoir des enfants est bien là, et ce sont les limitations que vous vous mettez qui vous en empechent.
Alors soit vous les dépassez entre vous, en vous bouchant le nez, soit vous les acceptez, et vous taisez.
Autre solution, faire une thérapie suffisamment profonde, et guérir votre névrose sexuelle, votre confusion des genres et de l’identité (beaucoup plus long couteux et incertain, mais tellement plus courageux !).
Encore une fois, à vous de voir, c’est votre choix, ou votre destin, mais à chacun le sien, et aucun ne donne le droit à un être humain s’en arroger un autre pour son bon plaisir ou pour tenter de réparer l’histoire.
La culture dont notre pays a besoin, se devrait de retranscrire dans ses lois fondamentales, la volonté de favoriser l’intégrité et la santé biologique, émotionnelle, et mentale, des enfants à venir (dans la perspective que redresser la barre soit encore possible, bien sûr !).
Ce, au nom de notre propre responsabilité d’adultes (normaux), quant à ce que nous leur léguerons, et à ce qu’ils deviendront, grâce ou a cause de nos choix.
En tant que citoyens d’une nation, nous avons à prendre soin de nos enfants.
Parents ou non.
Pour moi ce débat touche à minima notre constitution, il ne peut etre relégué à une simple question de droit.
La question éthique qu’il soulève est d’ordre anthropologique et dépasse même et de loin notre cadre national, car il s’agit bien là de redéfinir l’humain sur terre comme un être en totale contradiction avec sa nature.
Vous me direz peut-être que au point ou l’on en est ...
A ce point, vu les enjeux, vu ou nous en sommes déjà, ce sujet ne doit pas être laissé entre les mains de quelques irresponsables déconnectés de l’anthropologie, de l’éthique, ou meme du simple bon sens.
Que l’avenir nous préserve...