Tout va bien. Ils commencent sérieusement à se chier dans le froc. Manu qui demande au traitres "syndicalisés" de l’aider pour qu’il n’y ait pas le bordel en amenant les bélants à "accepter". On n’a pas fini de rigoler.
Chez nous, en Alsace, (Mulhouse), comme les entreprises ont manifesté leur mécontentement sous label "les pigeons" contre la CFE, boeckel et consorts ont débrayé, mais on apprend aujourd’hui que "en échange tout le monde va payer" (piscines moins chauffées, par exemple), tout le monde sauf "eux" car rien n’a été touché aux 1,34 M d’€ qui leur revient. Aujourd’hui, 1 000 personnes par jour en moyenne connaissent les joies de l’inscription à "polemploi", çà gronde !