Nantes : les troublantes déclarations du père descendu de la grue
20 février 2013 23:45, par anonymeLa pourriture s’est déchaînée comme un déluge. Elle a envahi presque toutes les institutions, y compris la justice !
J’ai découvert en effet la pourriture dans la justice dans les circonstances suivantes.
Suite à ma séparation avec mon ex-épouse, mon avovat calcule que je n’ai rien à payer pour la pension alimentaire. Je lui dis que je propose quand même 60 euros par mois à titre symbolique. Ce sont mes enfants, c’est ma chaire et mon sang et si j’avais le salaire d’un traider, je leur verserais 100 fois la pension exigée par la loi.
Après la procédure de non réconciliation (comment pourrais-je me réconcilier avec lucifer soi-dit en passant ?), je reçois le jugement qui me somme, avec "la force publique" de verser une pension de ... 400 euros par mois !
Je vais voir l’avocat et lui demande de faire un recours contre cette folie. Il me dit que ce n’est pas la peine, que son avocate va la raisonner.
Je prends sa déclaration pour argent comptant. Mais seulement voilà, maintenant elle me pique 400 euros plus 100 euros de retard, soit une somme de 500 euros qui m’a réduit presque à la pauvreté. Je ne peux même pas réparer ma voiture en panne depuis six mois, ni même prendre le bus ! Je marche à pieds et à force de marcher à pieds, je boîte. Et je ne vis plus, je vivote.
Le juge et mon avocat étaient-ils des frères la truelle, auquel cas j’étais le dindon de la farce judiciaire ? Des féministes ? Quoi qu’il en soit, l’histoire de mon divorce m’a prouvé de façon péremptoire que la justice est pourrie. Quant à la garde de mes enfants, confiée de manière automatique à leur mère sans faire la moindre enquête de moralité sur elle, est une preuve supplémentaire de la dangerosité des tribunaux.