Outreau : les confessions de Fabrice Burgaud
3 mars 2013 21:31, par MG 42grattez un peu sur les aveux quasi spontanés de l’huissier....
cet "homme" qui s’est écroulé en larmes au procès en proclamant : "JE SUIS COUPABLE, mais à cette époque je ne savais plus où j’en étais". Info extraite du huis clos où son fils François-Xavier l’a invectivé en le pointant du doigt "avoue ce que tu m’as fait !" Ces propos n’ont pourtant pas été actés car selon Monier, président de chambre à la cour d’appel de Douai, ils exprimaient une mauvaise conscience et non une reconnaissance de culpabilité. (? !)
http://blogs.mediapart.fr/blog/capr...
http://www.pedopolis.com/blog/outre...
Extrait de « Outreau : Où sont les vrais menteurs ? »
blogs.mediapart.fr/blog/caprouille/081112/outreau-ou-sont-les-vrais-menteursaAlain Marécaux à travers son film-fiction a prétendu dire la vérité sur l’affaire d’Outreau mais il a omis sa déclaration mythique rapportée par le Président Monnier : « Je suis coupable mais à cette époque je ne savais plus où j’en étais » . Il se dit maintenant innocent de tout crime, mais qui ment ?
Comment Dédé, alors âgé de 8 ans a-t-il pu reconnaître immédiatement et sans hésitation le beau tapis zébré de la chambre à coucher de « Monsieur Marico » lorsqu’il l’a aperçu furtivement sur une photo alors qu’il venait d’entrer dans le bureau du Juge Burgaud ?
Depuis quand un huissier de justice, notable, laisse-t-il un enfant du quart monde pénétrer sa chambre à coucher ? Dédé était-il comme il a été prétendu, un copain de classe de son fils ? Que neni, François-Xavier Marécaux n’a fréquenté l’école de Dédé que plus tard, question de brouiller les pistes…
Marécaux avait prétendu ne jamais s’être rendu en Belgique et n’y connaître personne (sauf pour y emmener ses enfants dans un parc d’attractions) mais étrangement, son voisin mitoyen a vu très souvent des voitures immatriculées en Belgique garées devant chez lui… Qui ment ?
Petit rajout des plus intéressants : Alain Marécaux, expert en mensonges (pour un huissier c’est pas des plus forts) s’est aussi permis de pleurnichouiller devant les caméras de télévision car selon lui , on lui aurait « pris » son étude d’huissier .
La vérité est toute autre : il a vendu son étude au prix du marché quand l’affaire a commencé à éclater (ce qui était très prudent pour quelqu’un qui n’avait rien à se reprocher)