50 vérités sur Henrique Capriles Radonski, candidat à la présidence du Venezuela
25 mars 2013 03:45, par Jean JeanMon commentaire indiquant la date des élections n’est pas passé.
C’est le 14 avril.
Capriles est à la tête d’un coalition hétérogène. Sa coalition comprend même des groupes d’extrêmes gauches et d’extrême droite. Les communistes n’ont toujours pas rejoint Chavez par exemple. Les anarchistes non plus.
C’est comme le PSUV, une très large union assez difficile à contrôler.
Selon les différents sondage Maduro a une bonne avance.
Concernant Capriles, c’est en effet un libéral, mais à la manière d’un Pena Nieto. Il faut éviter d’analyser la situation avec un logiciel de pensée français.
Il essaie de copier Chavez pour sa campagne. Dit qu’il va aider les pauvres, redresser le pays mais annuler l’alliance avec Cuba et l’Iran.
Faut aussi noter qu’au Parlement c’est chaud. Les Chavistes ont une courte majorité.
Ce qui est à craindre pour les chavistes c’est avant tout l’éclatement de leur coalition PSUV. Ça tenait grâce au charisme et aux cojones énormes d’Hugo. Si il ne peuvent pas resserrer les rangs l’opposition gagnera très facilement, tant que le PSUV tient normalement c’est bon pour eux.
Concernant cette liste, il y a des erreurs. Capriles ne veut ni ne peut dé-nationaliser le pétrole. C’est une loi organique de 75 qui l’a nationalisé, donc constitutionnelle et dure à abroger. Avant l’État n’avait aucunes infrastructures et ne pouvait pas extraire le pétrole. C’est différent depuis 75. Même le plus libéral des libéral serait contre...
Capriles veut ne plus subventionner en Petrole AUCUN pays.
Bref, c’est pas le parti de Capriles mais d’une coalition. Les anti Chavez contre les pro Chavez.