Véronique De Keyser : "Il faut reparler avec Bachar al-Assad"
22 avril 2013 20:26, par Sophie
Tous ces gens là, dans ces institutions mondialistes, sont des esclaves au sens de Nietzsche. Ce sont des faibles, des décadents et des corrompus. Ils représentent la nouvelle caste sacerdotale, qui pense détenir la vérité, l’axe du bien. En vérité, leur nihilisme le dispute à l’insignifiance de leur rhétorique. Elle peut bien s’ émouvoir sur le sang versé, sur l’horrible Bachar, tout ceci n’est encore que moraline... Les morts, bien réels ceux-là, ces enfants, ces femmes, ces hommes ces vieillards assassinés chaque jour avec la bénédiction de l’UE -contre la volonté des peuples- n’ont pas de droits : pas de visage, pas de nom, pas d’âge, pas même une âme. Les droits de l’homme sont une foutaise. Une invention des Loges pour mieux cacher leur rêve prometheen. La vérité est tragique et la médiocrité de cette personne encore plus désolante.