Ces jeunes Israéliens qui se font tatouer le numéro de déportation de leurs grands-parents
3 mai 2013 23:43, par Aglaïos
C’est drôle ce besoin, de se plaindre alors même que toutes les conditions objectives ont disparu, à croire que ça fait parti de l’ADN collectif... Quand la souffrance n’existe pas on la crée, pour retrouver ce doux sentiment de crainte, de méfiance et de haine de l’autre...
C’est plutôt le nom d’un palestinien qu’ils devraient se tatouer, eux sont encore vivants et existent réellement.