Grèce, Irlande, Portugal, Italie, banques : vers le grand défaut ?
11 mai 2013 13:05, par impartial
Ce qui inquiète les gens c’est que la dette Française soit détenue aux deux-tiers par des étrangers, l’idée de devoir bosser pour l’étranger les met en rogne : mais c’est oublier que les Français détiennent réciproquement de la dette étrangère et donc ces dépendances mutuelles s’annulent . Les gens disent aussi que la moitié des actions des entreprises Françaises sont possédées par l’étranger, mais c’est oublier que les investisseurs Français sont présents à Wall Street, à Londres, a Tokyo . On peu parler de participations croisées à l’échelle planétaire . Le problème de la France, c’est qu’elle ne puisse plus recourir a ses habituelles dévaluations compétitives ( une vingtaine au 20 eme siècle ! ) qui lui permettait de relancer ses exportations : voilà pourquoi l’industrie Française baisse alors que l’industrie allemande se développe . Les schleus sont en train de nous phagocyter gentiment .