Prochaine étape : fabriquer un Massoud Abou Assir, comme en Libye, pour dynamiser un peu le spectacle et lui donner un brin de légèreté.
Il ne restera plus qu’à envoyer un journaliste de France-Culture et à diffuser dans le Nouvel Obs’ cette ânerie pour que les intellos-gogos se croient informés et se fassent prescripteurs d’opinion.