Bien que l’auteur de cet article soit (supposément) juif, et qu’il se dissocie de l’"élite juive" dont il juge lui-même le comportement répréhensible, nous le voyons terminer ses prolégomènes par un genre d’adoubement d’Alain Soral. Je tiens ici à bien mettre au clair que je ne suis nullement opposé à cette conclusion, mais bien des choses peuvent être dites en rapport avec le reste. Étant limité à un très maigre 2500 caractères, j’essaierai d’aller à l’essentiel, bien que beaucoup plus pourrait en être dit.
La première chose à souligner ici, c’est que "Max", bien que se dissociant du comportement répréhensible de ce qu’il appelle l’"élite juive", n’en présente toutefois pas moins et à de multiples reprises cette "élite" comme en étant véritablement une et qui dominerait le reste de la population humaine de ce globe.
Qu’il y ait une domination économique et politique de cette "élite" sur une grande partie de l’humanité, cela ne fait aucun doute, mais cet aspect des choses n’est qu’un aspect limité du réel, qui plus est, tout à fait dénué de toute forme de spiritualité et entièrement tourné vers le "sol", symboliquement parlant.
Lorsqu’il fait une distinction en trois parties de l’humanité, les sachants, les croyants et les ignorants, j’en vois personnellement au moins deux autres : les "croyant savoir", que sont les juifs, et les "sachant savoir" que sont les êtres éveillés (spirituellement) de toutes races et de toutes origines, peu importe leur degré d’éveil.
L’intellectualisme alambiqué qui est le sien et qui est assez représentatif de l’intellectualité juive, n’est constitué que d’un tissu d’erreurs du mental humain, qui n’a jamais vraiment réussi à se hausser ne serait-ce que sur la première marche d’une véritable spiritualité. Cet intellectualisme ne consiste qu’en une exacerbation d’une certaine complexité mentale dont la nature a plus pour effet d’embrouiller le mental de ceux devant qui on l’expose que de permettre un éveil à la réalité véritable dont la nature intrinsèque est la simplicité même.
Oui, l’humanité semble se diriger vers une catastrophe par rapport à laquelle les deux premières guerres mondiales n’apparaîtront sans doute que comme un simple jeu d’enfants dans une cour de récréation. La haine et le mépris fortement enracinés d’une certaine faction de l’humanité est à la veille de s’abattre sur le reste de l’humanité.
Doit-on s’en réjouir, comme semble le faire "Max" dans son premier paragraphe lorsqu’il utilise le mot "enfin" ?