Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau
2 juillet 2013 13:19, par Heureux qui, comme Ulysse...
Que de confusion !
La particularité d’Alain Soral c’est justment qu’il est devenu mature au point d’être dépourvu d’idéologie et que, par conséquent, il ne verse pas dans le registre nauséabond de la politique.
Son registre est celui de la raison, une pensée libre et autonome ne saurait produire quoi que cela soit d’objectif par la règle qui prévaut en politique, celle des "quatre C" (conditionnement, collusion, compromission et corruption). Le salut est en dehors du champ politique, continuer à l’alimenter est une erreur.
Seules deux conceptions de l’humanité peuvent s’opposer, agir pour l’intérêt et le bien commun sans mépriser le talent des meilleurs qui alimentent le véritable progrès ou se muer en imposteur pour s’assurer de son propre confort et intérêt au péril de l’espèce toute entière.
Le bien n’est ni de gauche ni de droite (constuction intellectuelle de l’Empire destinée à cliver et diviser, sans lien avec le réel), il est le bien, seulement.