Sinon il y a le club de la Lazio en Italie (Lazio Rome). Un des clubs aux tribunes les plus subversives d’Europe. Des supporters politisés encore debout bien que l’UEFA les ont en ligne de mire depuis une bonne vingtaine d’années maintenant (banderoles de soutien à la Palestine, à Chavez, refus d’accueillir un joueur de l’entité sioniste, détestation du football moderne), une histoire cohérente non-corrompue, non-reniée, un maillot sans sponsors débiles, un effectif relativement sans stars et humbles et travailleurs et bien sûr une enceinte - partagée certes avec la Roma, le club rival - mythique, le Stade Olympique de Rome.
Ce commentaire a été écrit certes avec le sourire mais Paolo Di Canio, une des idoles du cœur de la Curva laziale, est le genre de mec qui avait dit entre autre ceci :
« Mes parents m’ont appris à regarder chacun en face et je suis fier d’être la cible de gens qui ne partagent pas mes valeurs. »
« Si l’on est politiquement correct, on est cité en exemple, même si dans la vie on se comporte mal. Si l’on fait le salut romain, on est un démon qu’il faut éliminer. Je trouve ça honteux. »
« Selon moi, la droite et la gauche n’existent même plus. Moi je suis quelqu’un qui possède des valeurs très proches de celles de la culture du passé. »
Regardez-moi cet enthousiasme :
http://www.youtube.com/watch?v=HKXv...
Le vrai foot existe encore, mais il commence à se faire rare.