Henri Guillemin raconte Jean-Jacques comme personne, un être précieux qui a essayé de faire comprendre les choses essentielles à ses semblables, en pleine explosion ultra-libérale......il a subi les pires saletés de la part de ces ténèbres déguisées en lumières, Voltaire en tête........Rousseau, faisant aussi et surtout, je dirais, écho à Pascal avec ce génie commun de comprendre l’homme dans une totalité matérielle et métaphysique inégalée.