Les États-Unis requièrent 60 ans de prison minimum pour Bradley Manning
21 août 2013 09:42, par Pierrot le Fou N°4
Bradley Manning est vraiment un fauteur de troubles. Par sa faute, une quenelle de 103.000, oui, vous avez bien lu cent-trois mille (c’est pas de la quenelle de 75, et c’est sa taille aujourd’hui, elle peut pousser encore si vous la signez), pend au nez de la clique américonne.
Imaginez un peu. Il a réveillé les consciences endormies par la masturbation, et une pétition demande qu’il lui soit décerné le prix Nobel de la paix, ce qui, entre parenthèses, n’est peut-être pas une très bonne idée, puisque cette quenelle mondiale distingue, en ces jours d’inversion des valeurs humaines, les plus célèbres criminels de guerre et autres psychopathes.