Confession d’un dragueur : en quête d’une fraternité perdue
27 août 2013 12:51, par Alain
Je plussoie des 2 mains à cette excellente critique !
Bravo pour ce très bon film, Monsieur Soral.
Nul doute qu’il restera en bonne place sur l’étagère des cinéphiles avertis, et qu’il fera date quand les historiens étudieront lucidement notre époque décadente et déshumanisante.