Barack Obama souhaite que les États-Unis interviennent en Syrie mais confie la décision au Congrès
1er septembre 2013 10:57, par Mister W
Pour part, j’analyse ce "revirement" d’Obama comme étant une tentative pour sauver ses fesses.
Les Anglais ont voté contre. Dans de nombreux pays il y a beaucoup de contestation contre cette intervention. Il ne reste plus grand monde pour aller à l’attaque. Si ça foire, il y en a un qui va payer les pots cassés. Puis en face, il y a quand même la Russie. Si les affrontements durent et que les morts sont nombreux. Obama y perdrait sa tête.
Je pense que ce revirement est très positif (même si on est dans le mauvais camps) s’il se confirme comme étant une non intervention. Sur le long terme je voie la "chute" les USA, un risque pour le pétrodollars ,et au passage la victoire contre l’installation du nouvelle ordre. On est pas loin du sentier d’or