Michel Collon dénonce la propagande de guerre
8 septembre 2013 23:47, par roger bennatije ne puis que remercier Michel Collon de savoir tenir tête avec calme et sang froid à l’avalanche des idées conventionelles et dominantes exprimées en général par les invités ’’ classiques’’.
il en est qui lui reprochent de circonscrire son analyse au pétrole et aux sources d’énergie dont les occidendaux sous leadership US voudraient s’assurer le monopole mondial...Ce n’est déjà pas si mal ...et effectivement s’il passe vite sur la nature du vrai chef d’orchestre universel le veau d’or c’est à dire l’oligarchie financière mondialisée qui nomme ses fondés de pouvoir internationaux à la Holland, Sarko, Calderon ou Obama et hier Buh etc..il en dénonce les effets et méfaits actuels les plus dangereux.
Ill est d’ailleurs vrai que cette entité désincarnée, mystérieuse et toute puissante du Dieu Monnaie revêt les aspects ordinaires d’ humains en chair et en os qui siègent dans ses divers think tank et autres Commissions trilatérales ou non...Qui complaisance ou largesse altruiste et non partisane de sa part, sont ouvertes à des gens apparemment aussi commun et démocratiquement connus que nos élus à la Hollande ou à la Sarkosy à la Fabius ou à la Woerth,voire Copé...La mondialisation qu’a progrssivement introduit le progrès scientifique et technique sur l’ensemble de la planète exige que cette cupide puissance omniprésente et universelle fasse valoir ses droits absolus, naturels et éclairés sur toutes les économies continentales. Foin des obstacles hérités d’un passé dépassé que sont nations et Etats d’antan... l’Unité du Marché mondial demande une gouvernance unique et souveraine du globe, à commencer par les contrées ou régions les moins politiquement stables ou bien qui manifestent des signes de réticence passéistes à l’application des normes universelles qu’impose la géopolitique du proche futur pour la survie éternelle du naturel système financier ultra libéral en place de par le monde. Ou on s’aligne ou l’on est balayé ’une manière ou d’une autre, trève de tergiversation, on a asez perdu de temps durant la période honnie et dictatoriale du communisme à l’est et de la guerre froide. De plus, la guerre n’est que le moyen le plus rentable d’une fin qui vise à éliminer du capital suraccumulé pour rétablir le légitime taux moyen d’intérêt que ces gloutons deus ex machina estiment devoir retirer des fabuleux investissements qu’elle génèrerait immanquablement . Un grand bravo de satisfaction pour Taddei qui nous permet de briser la monotonie rituelle et conventionnelle de ces talk show où sont invités en masse intellectuels faussaires et économistes à gage comme décrits par Boniface ou Halimi.