Syrie : vers une guerre mondiale ?
9 septembre 2013 18:44, par QuoVadisLe paradoxe de notre époque est que nous avons plus de connaissances mais moins de patience et de tolérance. Des autoroutes plus larges mais des points de vues plus étroits. On dépense plus mais on n’a moins. On achète plus mais apprécie moins. Nous avons de plus grandes maisons mais des petites familles. Plus de commodités mais moins de temps. On a plus de diplômes mais moins de bon sens. Plus d’éducation mais moins de jugement. Plus d’experts mais plus de problèmes. Plus de médicaments mais moins de bien-être. On boit bien trop, on fume bien trop, on dépense sans réfléchir puis on rit pas assez. On conduit trop vite, on se fâche trop. On se couche trop tard puis on se lève trop fatigué. On ne lit pas assez, on regarde trop la télé puis on ne médite pas assez. Nous avons multiplié nos possessions, nous avons perdu nos valeurs. On parle trop. On aime trop rarement. Et on hait trop souvent. On a appris à gagner sa vie mais pas à la vivre. Nous avons acheté des années à la vie mais pas de vie aux années. On a appris à se stresser mais pas à patienter. Nous construisons des ordinateurs pour retenir plus d’informations, produit plus de copies que jamais auparavant mais communiquons de moins en moins. Nous sommes à l’heure de la restauration rapide et de la digestion lente. Des grands hommes mais des petites personnalités. Des profits records mais des relations superficielles. Nous sommes à l’heure de 2 revenus mais avec plus de divorces. Des maisons plus jolies mais avec des foyers brisés. Nous sommes à l’heure des courts voyages, des couches jetables, des basses moeurs, des nuits sans lendemain, de l’obésité et des pilules qui font n’importe quoi. De donner du peps, à endormir, à tuer. Nous sommes à l’heure des showroom bien remplis avec des entrepôts vides. Rappelez-vous de dire je t’aime à votre partenaire et à vos bien-aimés. Mais surtout pensez-le, une bise, une accolade soulagerons un mal lorsque sincère. Souvenez-vous de vous tenir la main et de chérir ce moment présent, parce qu’un jour cette personne nous quittera. Prenez le temps d’aimer, de parler et de partager vos pensées précieuses. Et n’oubliez jamais que la vie ne se mesure pas au nombre de souffles que vous prenez mais par les moments qui nous coupent le souffle…
Très beau texte d’un blog canadien Theplot911, merci à LLP de l’avoir fait découvrir.