Coin jeune - Réflexions sur la théorie du genre
3 novembre 2013 00:16, par Pierre GhiLa théorie du genre, c’est l’homme qui se substitue à la nature, c’est l’homme qui se place au-dessus de la nature, c’est l’homme qui asservit la nature, c’est l’homme qui dénature le naturel, c’est l’homme qui manipule la nature pour en faire une source de bénéfices ou pour en faire une arme de destruction.
Avant la théorie du genre, l’Humanité était libre, elle était en harmonie avec la nature, elle s’épanouissait au sein de la nature. Depuis la théorie du genre, la nature est repassée de la pratique à la théorie, l’Humanité concrète est redevenue théorique et là, je dois faire un détour par le dictionnaire qui définit le théorique comme de la spéculation, comme quelque chose d’abstrait qui ne tient pas compte de la réalité. Et puis je continue mon détour pour définir la spéculation et j’y vois un lien direct avec la finance, avec le commerce, avec les bénéfices et les places de marché donc, avec les places boursières. Et je me demande ce que le commerce a à voir avec l’identité sexuelle de nos enfants, je me demande quel rapport il y a entre les discriminations L.G.B.T-phobes dans le milieu scolaire et la spéculation financière, je cherche le lien entre l’homophobie dans les écoles primaires et les gains en bourse. Et puis, j’ai peur d’avoir compris qu’il y a de la spéculation sur l’identité sexuelle de nos enfants, j’ai peur d’avoir pigé qu’il est question de faire du commerce avec l’identité sexuelle de nos enfants et je crains d’avoir compris ce qu’est la théorie du genre et quel est le but qu’elle poursuit. Je redoute de savoir pourquoi la nature doit reculer devant les droits de l’homme.
La vie n’est pas une théorie, elle est une réalité. L’identité sexuelle de nos enfants n’est pas une théorie mais un don de la nature. On ne peut ni spéculer sur la vie humaine, ni spéculer sur l’identité sexuelle d’un être humain et encore moins quand cet être vivant est un enfant. Il existe des tas de moyens de se faire du fric mais je crois profondément qu’il y a des limites à ne pas dépasser.