Entretien avec Erich Priebke, ex-officier nazi
14 octobre 2013 08:14, par Heureux qui, comme Ulysse...
Aux censeurs, je précise qu’il n’est pas question de douter de l’horreur des camps de concentration, quand bien même ils auraient fait une seule victime, cela aurait été une victime de trop.
Ainsi, le discours d’un vieil officier nazi n’a pas plus d’importance que le récit d’une victime, les deux peuvent (se) mentir, pas les lois de la physique.