Merci Madame de me confirmer, malgré votre discours alambiqué, ce que vous représentez. Vous et vos coreligionnaires êtes un coin, celui qu’on glisse dans la brèche, la ligne de fracture entre-deux parties potentiellement antagoniques, pour éviter tout rapprochement, toute réconciliation susceptible de vous botter le cul. Vous êtes le troisième larron qui, pour tirer les marrons du feu, attisez dans l’ombre les flammes de la discorde. Heureuse ?
La quenelle vaincra contre le coin !