La jeunesse de Jean Marie Le Pen
27 octobre 2013 07:57, par SouchienC’est avoir tort que d’avoir raison trop tôt. En tant que chef de parti important, il aurait du être parmi les premiers à savoir ce que préparaient les élites pour les pays d’europe et il aurait du le dénoncer, plutot que de faire une obsession de la question des immigrés à une époque où leur présence n’était pas un problème.
Les analyses du fn sont toujours faibles, superficielles, les arguments sont simplistes. Il a été un très mauvais communiquant, juste un bon provocateur inutile.
Son bilan, faire perdre 40ans de prise de conscience, donner du temps au formatage des esprits et à l’invasion migratoire.
Il lègue quand meme un appareil politique, sans cadres, ni talents, avec une base militante pas seulement racialiste ou ethno-différencialiste ?, mais raciste.
Les nouveaux militants doivent se battre avec les militants historiques pour essayer d’améliorer l’image du front national et convaincre plus de français qui en ont assez de la colonisation migratoire, identitaires mais non racistes, à rejoindre le front national.
« [..] Peut-on sauver un peuple du suicide s’il a décidé de se laisser mourir ? C’est LA question qui se pose. Je n’ai pas la réponse. Il arrive que l’entreprise me paraisse hors de portée. Il y a en effet tellement de forces qui se conjuguent dans le même sens, opposé aux intérêts de la France et des Français. Dans ces conditions, seul le peuple détient les clés de son propre destin. Mais le peuple ne dit rien et continue de baisser la tête. Si Marc Bloch revenait, il décèlerait probablement de nouveau le goût amer de l’étrange défaite. L’histoire ne serait donc qu’un éternel recommencement ? Espérons que cette fois encore, la France en sorte vivante. C’est le véritable enjeu. Pour cette raison, notre devoir est de continuer à travailler au réveil des consciences, avant qu’il ne soit trop tard. Oui, éviter de se rendre complices d’un crime contre l’humanité : la disparition d’une civilisation. [..] » Sorel, Malika - Sur son blog le 24 février 2010.
« Ce n’est que lorsque la nationalité attribuée par la France sera redevenue réelle, et non factice, que les Français cesseront d’éprouver le besoin de parler de “Français de souche” et de “Français d’origine étrangère”. C’est la France qui, en donnant sa nationalité à un nombre considérable de personnes qui ne portaient pas son idéal, s’est rendue coupable de l’introduction de la notion de deux classes de Français. » Sorel, Malika : Extraits du Puzzle de l’intégration.