Éric Naulleau : "Je ne suis pas là pour servir la soupe à Alain Soral"
2 novembre 2013 18:00, par xénon
De la Libération à la mort de Céline en 1961, presque tous les écrivains bien en cour y allait de leur petit crachat quand on leur demandait leur avis sur Céline, eh bien aujourd’hui pour etre reçu à la téloche, il est de bon ton de baver sur Soral, c’est comme "un mot de passe" pour avoir le droit d’y faire "une passe" - et en public Madame !