Quand Libération faisait l’éloge de l’insécurité
19 novembre 2013 11:26, par Heureux qui, comme Ulysse...
Ah oui, quand même ! C’est donc cela que l’on couche sur papier aujourd’hui. Je comprends mieux pourquoi nos militaires se mettent à lire les épluchures lorsqu’ils sont de corvée de patates, c’est assurément plus instructif que l’emballage qui finit tout logiquement avec elles dans une poubelle.
Vous m’en mettrez deux kilos donc, non que j’apprécie beaucoup les patates, mais je dois rallumer ma cheminée assez souvent et j’aime aussi garnir le clou de ma cabane au fond du jardin, cette société faisant l’effet d’une purge, les réserves s’épuisent très vite !