Douce France, tu ne me laisses pas le choix.
A l’heure d’aujourd’hui, j’ai les viscères à l’envers,
odeur rance, près du port bouché par l’anchois,
des grilles tomberont encore derrière quelques vers.
Douce France, je voulais t’inviter à dîner,
loin des griffes du CRIF où ils te font tapiner.
Tu veut t’enfuir ? On pourra pique-niquer, panique pas,
J’ai toujours un réchaud avec moi.
Douce France, ne réagis pas à chaud à mon invitation.
Préfères-tu les fachos adepte de l’irritation ?
Analyse, je ne suis pas fâché, même si après,
tu veut me fauché, me mettre au cachot, à l’arrêt.
Douce France, ta liberté d’expression se meure...
C’est comme voir des maréchaux à pieds, avec un saucisson-beurre.
Tu n’auras pas le choix, menu complet, t’es quand même une nana.
Artichaut à la barigoule, quenelle de brochet et carpaccio ananas !
Dieudonné, ce texte est pour toi !
_ ;)
Paix sur vous tous !
Que les malins n’oublient pas que nous avons des armes ! BLABLABLABLA