Les mouvements sociaux de ces derniers mois n’ont fait que confirmer cette analyse. Il faut le dogmatisme d’un Jean-Luc Mélenchon pour ne pas comprendre qu’il y a aujourd’hui plus de choses en commun entre un salarie de petite entreprise et son patron, confrontés l’un et l’autre au risque de fermeture, qu’entre ces personnes et les dirigeants des grandes entreprises, ou l’élite « compradores » qui désormais gouverne. S’il avait fait ses premières armes dans un autre mouvement que le Trotskysme, par exemple chez des maoistes, il aurait peut-être pu être plus sensible à cette dimmension “nationale” d’un mouvement interclassiste
A part que je reste dubitatif sur la référence aux maoïstes (ah bon) ceci dit je pense que le petit père Sapir qui n’a toujours pas fait le deuil de son amour pour Mélenchon doit apprécier et être réconforté par l’accueil que le site fait à ses articles, comme promotion !!! il n’a pas l’air de s’en plaindre, attention mon pt’ it père à force de raser les murs , tu risques d’avoir des problèmes avec la Kommandatur, ce qui serait dommageable