Cette nouvelle élite ultralibérale (Représentée par Ennahdha) exaspère les tunisiens. La classe moyenne regrette parfois Ben Ali et les déshérités se soulèvent.
Un gouvernement dépourvu de compétences, vorace et impopulaire, bien qu’ayant la "légitimité" religieuse (mosquées transformées en tribunes politiques à la gloire du parti).