Je ferai remarquer que Oulianov n’était pas seul à s’activer pour le triomphe de la révolution bolchévique. Les forces invisibles agissaient tout autant, en l’occurrence les banquiers internationaux.
Nicolas II - et son gouvernement - dernier potentat à s’opposer à la création d’une banque centrale privée devait être éliminé.
La Russie avec ses immenses richesses représentait un enjeu d’importance capitale pour les oligarchies transnationales. Du côté étasunien Wall Street n’était pas en reste puisqu’en 1917 Trotsky pris en main par les affairistes logeait à New York dans un appartement de grand standing équipé déjà de climatiseurs et d’un réfrigérateur. Ce sinistre individu y circulait en limousine avec chauffeur. C’est de New York qu’il gagna en bateau la Suède avec suffisamment de liquidités pour accomplir sa mission révolutionnaire. Au même moment munis de chèques conséquents Oulianov partant de Zurich traversait l’Europe centrale avec la complicités des Allemands et faisait la jonction avec Bronstein alias Trotsky. Tous ces personnages dont on a beaucoup parlé furent des activistes au service des banquiers internationaux qui s’affrontaient pour la mise en coupe réglée de l’immense Russie. Globalement la révolution bolchévique masquait une guerre germano-américaine financière. Mais cela a-t-il un sens quand on connaît les intrications des Etats avec les banquiers internationaux. Ceux-ci sont aussi en guerre, mais confortablement installés. Oulianov qu’on charge de toutes de toutes les turpitudes n’était pas plus responsable que Trotsky et sa clique de bolcheviks dans l’organisation des famines notamment en Ukraine qui touchèrent des ressortissants allemands. Oulianov avec ses convictions était bien plus respectable que Bronstein, citoyen allemand, qu’on soupçonne encore aujourd’hui d’avoir été un agent du Reich. Oulianov pourrait paraître naïf quand métaphoriquement il comparait la révolution à une automobile : « c’est curieux on braque pour aller à droite et la voiture va à gauche ». C’est tout simplement qu’il ne voulait pas comprendre que des forces invisibles manoeuvraient à son insu.
En conclusion Oulianov, Bronstein et toute la clique des juifs victimes de prurit révolutionnaire, malgré leur niveau culturel et leur conviction n’ont été que des jouets entre les mains de la finance internationale. En d’autres termes à mon sens ils demeureront des idiots utiles. Cette expression n’est-elle pas de Lénine lui-même......