En fait, nous sommes réellement revenus au début des années 30 du siècle précédent.
Mis à part que les chemises noires, brunes, ou autre couleur sont d’autres obédiences.
On n’a pas mesuré, à mon modeste avis, le coup d’état juridique (au sens propre) du ministre de l’intérieur, couvert par le Président de la République.
Il est immédiat que durant les municipales ou, plus probablement, durant les européennes la restriction d’expression à-priori soit utilisée. Pour deux raisons simples : D’une part c’est devenu "normal". D’autre part cela jette le discrédit sur la victime. Sans recours possible.
Un peuple qui accepte cela trop durablement ne mérite pas la liberté que ses ancêtres ont acquis.
"Changer les mentalités". Ok. Les derniers praticiens de ce principe ont été, sauf erreur : les nazis, les bolcheviks, Mao, les khmers rouges.
Pourrait-on un jour foutre la paix aux gens, et les considérer comme majeurs ?
C’est à dire leur demander leur avis sur quelques orientations sociales ou économiques structurelles ? Et respecter cet avis.